L’économie mondiale a chuté depuis l’avènement de la Covid-19. Certains secteurs sont plus touchés notamment celui de l’économie. En France, le déficit public enregistré en 2020 est plus lourd depuis 1949, à 9,2 % du produit intérieur brut. Il s’établit néanmoins en retrait par rapport au taux de -11,7 % anticipé en décembre 2020. Finalement, l’endettement a atteint 115,7 % du produit intérieur brut.
Le déficit de 8,5 % du PIB est prévu par l’exécutif
Dans un peu plus de quinze jours, la France va devoir envoyer à Bruxelles ses prévisions en finance publique pour 2021 et au-delà. Bien malin est celui qui arrivera à prédire à quoi ressemblera ce programme de stabilité, tiraillé par les contradictions d’un déficit moins dégradé que celui de l’an 2020 et une situation sanitaire encore plus compliquée qui pèse sur l’activité. Bercy prévient que le chiffre déficitaire pour l’an dernier reste vertigineux et sa moindre détérioration ne préjuge rien pour 2021. Si vous décidez d’investir dans l’immobilier, rendez-vous sur https://www.f2mimmo.com/
Pour l’instant, un déficit atteignant le niveau de 8,5 % du PIB à la fin de cette année est prévu par l’exécutif. L’endettement quant à lui, s’élève à un taux de 122,4 %. Ce sont en fait des estimations faites depuis décembre dernier en fonction des anticipations de 2020 bien plus noires que ce qui s’est véritablement réalisé.
158 milliards d’euros pour les subventions de la crise
Le ratio de la dette publique s’est également envolé sans pour autant atteindre véritablement les altitudes redoutées il y a trois mois. Ainsi, le ratio a atteint 119,8 % du produit intérieur brut de l’an dernier quand la prévision de cet hiver était de 119,8 %. Mais, il faut comparer cela au niveau du produit intérieur brut de la France en 2019 qui était de 97,6 %. En estimation monétaire, cela représente une somme de 270,6 milliards de d’euros en un an pour abouti à 2 650,1 milliards de dollars.
Au total, le montant de 158 milliards d’euros constitue le coût de la crise pour les comptes publics si l’on veut faire le compte de la totalité des sommes dépensées pour le soutien des ménages et des entreprises en perte de recettes fiscales engendré par la crise économique.